Collection Jeune Vieux. Les Crêpes. (1/1)
Gabrielle, es-tu là, je tapporte ton repas.
Mamy, je descends, je révise mes leçons, jai un examen blanc pour le bac demain.
Cest en criant que je réponds à mamy notre voisine que je connais depuis huit ans quand mes parents ont acheté la maison mitoyenne à la sienne.
Mamy est veuve depuis quelle a quarante ans, son mari étant mort au volant de son camion sur une autoroute au petit matin où il s'est endormi.
Depuis elle lui est restée fidèle, jignore si elle a encore un sexe qui fonctionne ce qui est sûr, cest que la fenêtre de ma chambre donne sur son jardin me permettant de dire quà part la factrice qui remonte lallée quand elle a un colis ou une lettre recommandée, la seule personne que je vois aller jusquà sa porte, cest maman.
Mamy affiche une cinquantaine flamboyante et il lui suffirait de se remettre sur les rangs pour quil y ait la queue pour remonter de sa porte de jardin à la porte de son pavillon.
De mon côté mamy, cest comme maman, quel garçon la regarde avec les yeux de lamour, sauf des malades du cerveau, ce qui est loin dêtre mon cas.
Que mas-tu fait à manger ?
De losso-buco de veau avec des légumes de mon jardin, tomates, oignons, carottes et de lail que je rapporte de vacances de Lautrec où jai une maison familiale.
Cest vrai, tu mas toujours dit que tu me ferais découvrir ton merveilleux village, mais chaque année, je te vois partir et je reste en Bourgogne.
Oui, mais il y a le vin, je peux te le faire découvrir.
Te souviens-tu, les mercredis quand mes parents partaient, tu me faisais des crêpes ?
Nous rigolions bien, tu te souviens de la fois où tu mas appris à les faire sauter avec un louis d'or dans la main.
Je trichais un peu, c'était un faux Louis en métal doré que jai toujours dans un tiroir.
Cest pour cela que jai de la chance, malgré le nombre de crêpes qui se sont retrouvés au sol.
Il y avait tellement de beurre quil fallait que je lave la cuisine après tes exploits.
Et celle qui a fini sur larmoire où tu ranges les verres au-dessus du plan de travail.
Oui, javais oublié, jai été obligé daller chercher un escabeau pour aller la récupérer.
Elle était couverte de poussière.
Dit que mon ménage était mal fait.
Tu veux que je te dise la vérité, la vraie pas un fantasme inventé.
Jaimerais.
La crêpe, la première, cétait un accident, les deux suivantes, je lai fait intentionnellement.
Exprès ?
La première fois quand tu es monté, jai vu sous ta jupe et le soir dans mon lit, jai envoyé ma première carte postale.
Tu tes masturbé en pensant à mon dessous de jupe.
Non, jai rêvé et mon sperme est sorti de moi sans que je touche ma verge.
Arrête de parler de tes fantasmes.
Je vois bien que mamy est toute chose et cest certainement pour éviter que je naie des gestes déplacés quelle me fait une proposition.
Demain mardi, tu as ton bac blanc, je te fais confiance, si tu penses avoir bien réussi mercredi matin, je prépare de la pâte et à 10 heures, tu viens, nous les ferons sauter.
Jai failli lui dire que cest elle que je voulais sauter, mais un reste de pudeur a permis que je reste soft, d'autant plus que je suis si proche delle que le fait de la baiser est loin de marriver jusquau cerveau.
Attention, je suis loin dêtre puceau, jai tiré une copine dans les toilettes du lycée et jai aussi fait lamour chez elle avec ma professeure de français à qui javais promis dapporter un devoir que javais fait, mais qui était resté sur mon bureau dans ma chambre.
La copine, nous étions puceaux tous les deux, jai eu à peine le temps de mettre une capote, de lui déchirer lhymen et de gicler dans ce bout de plastique.
Ma prof, quand je suis arrivé, sortait de sa douche, je devais apprendre dans les jours suivant que cétait la première chose quelle faisait en rentrant de ses cours, elle ma offert un café et sest brûlé, je lui ai pris la main pour enlever le café chaud.
Jai pris ses doigts, les ait mis dans ma bouche, elle ma avoué que je lavais troublée et de sa main à sa chatte, il y a eu une barrière qui a sauté surtout que son mari la négligeait.
Elle ma tout appris, baiser sur une chaise dans la cuisine, se faire prendre en levrette sur le canapé, jai même sans le vouloir réussi à la sodomiser, je lavais placé les jambes écartées les seins reposant sur le plateau en marqueterie de la table de salle à manger.
Jai visé la chatte que jai transpercée pendant trois ou quatre coups quand sans le vouloir jai déchaussé et que le coup suivant jétais dans son petit trou, elle a fait un « Ô » vite transformée par des gazouillis ses mains ayant attrapé mes hanches pour éviter que je ne resorte.
Dans les jours qui ont suivi, je lai régulièrement sodomisé jusquau jour où jai eu la frayeur de ma vie, je la prenais sur leur lit en levrette quand son mari est entré dans lappartement, deux solutions, la fenêtre avec six étages où le dessous du lit assez haut pour que je me glisse.
Il est entré, sa femme a fait celle qui faisait la sieste ayant simplement retiré le dessus de lit pour se glisser entre les draps, le mari a été surpris quelle soit nue à cette heure, mais la coquine a su lamadouer, je lai entendue et vue la pénétrer grâce à la glace où elle se coiffait.
Le plus grave, cest la salle de bains ouverte où elle était retournée après mavoir ouvert et le bain que nous avons pris ensemble, elle mavait sucé avant que nous plongions dans leau et mon slip était au sol sans quil lait vue.
Pendant tout le temps où ils ont baisé, je voyais mon slip sans pouvoir intervenir, la salope, sachant que jétais sous eux, le pied quelle a pris à sembler interloquer son mari.
Quand il a déchargé, elle a sauté du lit en lui disant quil fallait quelle descende chercher du pain avant la fermeture de la boulangerie, elle est allée dans la salle de bains et jai vu quelle ramassait lobjet résultante de notre délit.
Quand elle est sortie, jai vu le mari poser ses pieds à quelques centimètres de mon visage et remettre slip et pantalon quil avait posés sur le lit, il lui a proposé de descendre en chercher ayant besoin de cigarettes.
Quand il est sorti, je suis sortie aussi, jai récupéré mes fringues cachées dans un placard et surtout mon boxer qui avait failli causer notre perte.
Jallais partir quand elle ma demandé de lattendre, elle est partie vers la cuisine et est revenue avec une baguette, quand son mari allait revenir sil avait vu quelle avait acheté le pain, il se serait posé des questions.
Je suis descendu par lescalier faisant attention en bas déviter de le croiser ma baguette à la main, maman a été tout autant surprise que je rapporte du pain surtout que chez nous sait elle qui le fait avec des produits bio avec une machine fleurissant de nos jours.
La peur que jaie eue ma vaccinée des femmes mariées et malgré les regards de braise quelle me lançait jai évité de monter au sixième de son immeuble.
Deux jours plus tard, après avoir passé un coup de téléphone à mamy pour lui dire quelle prépare la pâte à crêpes, cest un bouquet de fleurs en main quelle me reçoit.
Tout est près dans la cuisine, la pâte repose, cest du moins ce quelle dit, les poêles sont sur les brûleurs et lassiette pour les poser après quelles sont cuites sur le plan de travail.
Nous commençons, tout est normal, jusquau moment où je sors un vrai Louis dor de la poche de mon jean, je lai pris dans une petite boîte dans la chambre de mes parents.
Maman en a quatre, hérité de ses parents connaissant la cache où ils étaient, la première que je fais sauter est aussi catastrophique que les fois davant, Mamy veut me faire prendre le coup de poignet.
Pour cela, elle sest placée dans mon dos et me prend les mains, son contact me fait bander et la crêpe part sur larrière tombant sur la tête, elle hurle, car elle est encore bouillante, je me retourne ma verge tapant sur sa hanche avant de venir au croisement de son intimité.
Je balance la crêpe sur la table, avec la main, je la caresse, pansant atténué leffet de chaud, nos visages sont proches et je suis incapable de dire qui a réduit la distance entre nos bouches.
Le baiser que je lui applique ait fabuleux.
Gabrielle que fais-tu, pardon que faisons-nous ?
On saime, cela doit te manquer.
Oui, aimons-nous.
Je la prends sous les cuisses, je lassieds sur la table entre lassiette de crêpes et la crêpe qui la brûlé, je soulève sa jupe de quelques centimètres sans difficulté, elle maide en la remontant au moment où je lai assise.
Je me laisse glisser jusquà sa culotte que ma langue trouve très mouillée, elle lest bien plus après que ma langue là labourée.
Je la suce, cest à ce moment que mamy fait une chose inouïe, elle prend une crêpe sans sucre et la fait entrer au fond de sa chatte.
Mange et bois en même temps mon chéri tellement je mouille, il y a si longtemps que jespère retrouver ces plaisirs.
Javale ce que je peux tout en buvant sa cyprine qui coule de son sexe que je viens de réveiller, jextrais la crêpe avec ma langue et mes dents arrivant à la faire jouir.
Ce travail fait, je lui plante mon sexe et je décharge comme un fou.
Depuis ce jour mémorable où les crêpes ayant libéré notre libido mamy et moi avons aménagé ensemble, la maison de mes parents est en ventes, le week-end où il était parti laissant à mamy le soin de me nourrir, ils avaient essayé de sauver leur couple.
Maman avait un amant et papa lavait su, cest encore plus fâché quils sont revenus de cette tentative, elle a rejoint son nouvel amour qui fait du hasard est breton, il était de passage dans la région et elle est partie le rejoindre.
Papa a pris un studio en ville, quant à moi, je devrais dire à nous, jai eu mon bac, je suis en étude de comptabilité, en ce moment je suis à Lautrec dans le Tarn chez mamy qui est un peu chez moi maintenant.
Nous nous promenons main dans la main malgré les regards sur notre différence dâge et une fois par mois je prépare la pâte à crêpes qui est loccasion de franche rigolade, jattends que la première crêpe réussît soit un peu refroidie, je lentoure autour de ma queue et mamy vient la manger jusquà ce que je linonde avec mon sperme, elle en raffole.
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